Parce qu'une confiance mutuelle est essentielle

01

Secret professionnel

Ce qui est dit entre nous reste entre nous. Sauf bien sûr si vous envisager sérieusement de tuer votre voisin ...

02

Respect des droits fondamentaux

Je pratique ma mission dans le respect de la dignité humaine, de la vie personnelle, privée et familiale de la personne.

03

Moralité

L’hypnothérapeute exerce ses fonctions avec indépendance, probité et humanité. Les relations de confiance ne peuvent exister que s’il n’y a aucun doute sur l’honneur personnel, la probité et l’intégrité de l'accompagnant. Ces vertus traditionnelles sont des obligations professionnelles. Il est fait interdiction d’exercer sous un pseudonyme. La personne de l’hypnothérapeute doit être parfaitement identifiable notamment au moyen de son nom et prénom. Il respecte, dans son exercice, les principes de loyauté, de confraternité, de délicatesse, de modération et de courtoisie. Il fait preuve, à l’égard de ses clients, de compétence, de dévouement, de diligence et de prudence.

04

Intérêt de la personne

Le thérapeute a l’obligation de poursuivre au mieux les intérêts de son client, par rapport à ses propres intérêts, conceptions ou à ceux de ses confrères. Les décisions de l’intervenant quant à l’intervention et à la stratégie à adopter respectent l’objectif défini avec le client. Le cas échéant, le thérapeute doit prendre en compte l’impact négatif qu’un changement pourrait produire sur « l’environnement » du client et en informer celui-ci. L’accompagnant fournit une information loyale, claire et appropriée sur sa compétence et sur le déroulement de la séance. Il tient compte de la personnalité du client dans ses explications et veille à leur compréhension. En outre il n'utilise sa position de confiance qu'à des fin thérapeutiques et n'en abuse en aucun cas.

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PRINCIPE DE NON-DISCRIMINATION

L’origine, les mœurs, la situation de famille, le handicap ou l’état de santé, l’appartenance vraie ou supposée à une ethnie, une nation, une religion déterminée, ou à un courant politique ne peuvent constituer un motif valable pour poser sa clause conscience. Le thérapeute ou le coach appelé à donner une consultation à un mineur ou à un majeur protégé doit recueillir le consentement éclairé d’au moins un parent ou du représentant légal. Si le thérapeute ou le coach est amené à refuser une demande, notamment si celle-ci ne relève pas de son domaine de compétence, de sa spécialité, ou si la nature de la demande entre en conflit avec ses valeurs et son éthique, il en informe son client.